FAQ
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1. Comment se situe le travail de Mathieu Duvignaud dans le champ de l’art contemporain ?
Le travail de Mathieu Duvignaud s’inscrit dans le champ de l’art contemporain contextuel, en lien étroit avec les territoires et les milieux naturels. Il développe des formes artistiques pensées à partir des lieux, de leurs usages et de leurs dynamiques environnementales.
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2. Quel lien son travail entretient-il avec les sciences ?
Son travail artistique dialogue avec les sciences de l’environnement, de la terre et de la mer, en s’appuyant sur des données existantes (géographie, hydrologie, climatologie) sans produire de savoir scientifique en tant que tel. L’art agit comme un outil d’interprétation sensible de ces connaissances.
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3. En quoi les territoires sont-ils centraux dans sa démarche artistique ?
Les territoires constituent à la fois un support, un sujet et un acteur du travail artistique. Les œuvres sont conçues à partir de contextes géographiques précis, qu’ils soient fluviaux, littoraux ou terrestres, et prennent en compte les interactions entre milieux naturels et sociétés humaines.
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4. Quelle place occupent les humanités dans son approche ?
Le travail de Mathieu Duvignaud s’inscrit dans une réflexion relevant des humanités environnementales, en interrogeant la manière dont les sociétés perçoivent, habitent et transforment leurs milieux. L’art devient un espace de mise en relation entre savoirs scientifiques, récits humains et expériences sensibles.
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5. Comment sont abordées les notions de terre et de mer dans son travail ?
La terre et la mer sont abordées comme des milieux interdépendants, façonnés par des flux (eau, sédiments, usages humains). Le travail artistique met en évidence ces continuités plutôt que des frontières fixes, en écho aux approches contemporaines de la géographie et de l’écologie.
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6. Quels enjeux contemporains traversent ce travail artistique ?
Le travail de Mathieu Duvignaud interroge des enjeux contemporains tels que les transformations environnementales, la mémoire des paysages et la responsabilité collective face aux milieux vivants, en proposant des formes artistiques accessibles, situées et ouvertes à l’expérience du public.